Après le beau temps.. la pluie ^^ [Private Alice C.]

Il ne faisait pas vraiment très beau ce jour là. Il faisait même horriblement froid pour un jour d'été et quelques goutelettes tombait sur le nez de Jacob Black qui frémis. Il regarda en l'air avec mauvaise humeur. Bon dieu il ne pouvait jamais faire beau ici ? Rapidement, il rentra chez lui et attrapa son blouson. Il était dans son jardin, et projettait d'essayer la toute nouvelle voiture qu'il avait retapée. Sans réfléchir, lassant un très grognon "J'Y VAIS" à son père qui avait entendu ou non, Jacob monta dedans et démarra. Direction. Port Angeles.

Il se mit à pleuvoir de plus en plus, Jake se rendit compte au trois quart du chemin qu'il avait oublié de réparer les essuis-glaces. Il donna un coup dans le klaxon, avant de se faire klaxonner à son tour. Jacob leva les yeux au ciel mais ne pu s'empêcher de rire. Etrangement cela le faisait rire de se faire klaxonner. Dégradant.
Le loup-garou se garra là où il y avait de la place, ne sachant pas exactement où il était dans Port Angeles. Il cherchant des yeux un lieu qui pourrait l'abriter, ou bien le distraire. Evidement il se trouvait dans un quartier résidentielle et donc pas de bar, de cinéma, de magazin intéressant.. Non strictement rien seulement des maisons toutes similaires. Jake leva les yeux au ciel mais finit tout de même par sortir de la voiture. Son blouson ne comportait pas de capuche et il du se résigner à sentir les goutelettes glacées lui glisser entre les omoplates ou sur le bout de son nez. Finalement, alors que ses cheveux collaient contre sont front, que son pantalon aurait grand besoin d'être essoré et que son blouson de cuir luisait sous l'effet de l'humidité, il se retrouva dans une ruelle isolée et étroite, tant que les toits des immeubles opposés se touchaient presque et donc réduisait le risque de se faire tremper. Songeant à sa voiture qui devait être à un quart d'heure de marche à pied, s'insultant d'avoir tant voulu sortir, Jake soupira et se rendit dans cette ruelle, adosser contre la facade d'un des immeuble, regardant avec mélancolie la pluie tomber des noirs nuages, attendant que le ciel de dégage un peu.

Puis vint une odeur que le loup garou aurait reconnu entre milles. Celle d'un vampire. Evidement, ces horribles buveurs de sang adoraient les jours couverts pour le fait de pouvoir sortir en toute tranquillité. Jacob plissa les nez, scrutant les environs, s'attendant à voir débarquer une de ces sangsue d'une secondes à l'autre... Mais en réalité, c'était la sangsue qui lui tomba dessus, et non l'inverse.

Ploc Ploc Ploc. Le nez derrière les carreaux de la demeure des Cullen, notre petit lutin regardait attentivement la pluie s'écouler. Elle n'avait rien trouvé de mieux que se planquer devant une des fenêtres et attendre. Attendre. Sans rien faire. Le manque d'activité d'Alice se réduisait à une seule chose : elle avait l'impression que tout le monde la fuyait. Et tout le monde se réduisait aux Cullen. Ils n'étaient jamais là où elle l'espèrait. Ou alors Rosalie faisait bien bronzette dehors, mais par une journée de grand soleil, ce qui n'enchantait guère notre vampirette. Mary Alice Brandon aurait certainement baissé les bras en ne voyant personne dans la grande maisonnée mais Alice Cullen, celle qu'elle était alors se disait qu'un peu de tranquilité ne lui ferait pas tant de mal. Elle était indécise.

Son esprit vaguabondait entre maints et maints sujets autant inutiles qu'intéressants. Mais la vie était faite ainsi et ce n'était pas une jolie danseus qui pourrait la changer... à moins que... A ce moment-là, Miss Cullen eut nouvelle matière à réflexion Pas un sujet très alléchant en effet, mais un sujet quand même. Une idée d'un clébard. Beurk... Mais ce clébard n'était pas n'importe qui, c'était Jacob Black. Jacob aimait Isabella Swan de tout son être mais la jolie humaine lui avait préféré le frère de notre vampirette, Edward. Rien de bien extraordinaire là-dedans, moi l'auteur, je pense que tout le monde aurait choisi le sublime vampire. A moins que certaines personnes soient assez sottes et aliénées opter pour un... chien. Encore plus dégoûtant.

Pourtant, la jeune femme avait un brin de compassion pour Black. Ce dernier s'était entiché de Bella, aucun doute là-dessus. Et la belle ne l'avait pas choisi. Qu'aurait fait Alice si Jasper lui avait préféré quelqu'un d'autre ? Comment aurait-elle réagi ? Ce genre de questions se bousculaient parfois dans son esprit de vampire. Alors, si coeur de Miss Cullen avait cessé de battre il y avait bien longtemps, elle ne manquait pas néanmoins de pitié. Oui, Alice Cullen avait pitié de Jacob Black. Et en même temps elle le détestait pour ce qu'il était. Un loup-garou. Oh non camarade, ne vous méprenez surtout pas sur ce sentiment, le petit lutin n'éprouvait pas la moindre passion pour le clébard ! Seulement... il lui inspirait de la pitié, voilà tout.

Cessant enfin de penser à Black, Alice se ressaisit. Elle ne pouvait pas rester éternellement plantée devant le carreau de la fenêtre de sa chambre en regardant les gouttes de pluie et à écouter le clapotis de la pluie. Enfin, ce n'est pas digne d'un Cullen ! Se levant d'un bond, Miss Cullen descendit à la hâte les escaliers de la demeure non sans une divine démarche de danseuse. Ah, quelle grâce... Le temps était pluvieux, une chance pour un vampire ! Et elle qui le gâchait... Non, sa décision était prise, elle allait se rendre à Port Angeles. Pourquoi là-bas ? Aucun idée, ça lui était venu comme cela et rien n'aurait pu lui faire changer d'avis. Comme pour les préparatifs du prochain mariage de son frère et Isabella.

Presque pour faire bonne figure au vent, elle prit sa voiture de course... Ce serait un tord de ne pas l'utiliser et Edward pourrait s'avérer déçu ! Mais cela, c'était l'excuse qu'Alice utilisait pour ne pas s'y rendre à pattes. Non pas que cela l'aurait dérangé... Arrivant à destination en très peu de temps, elle gara son véhicule sur un emplacement prévu et sortit en quatrième vitesse. La jolie demoiselle voulait profiter du temps qu'elle ne trouvait pas si désagréable que cela... contrairement aux humains normalement constitués. Et tous les humains n'étaient pas tous normalement constitués... pour ne pas citer de noms.

Enfin bref, je m'égare-là. Le pas divin de notre petite danseuse la guida dans une ruelle où l'eau ne pouvait pas s'infiltrer. Pffou, tant qu'il n'y avait pas soleil trop éclatant, tout convenait à notre vampirette, elle n'en avait que faire. C'est alors qu'une odeur... nauséabonde lui parvint sans qu'elle puisse faire la moindre chose pour éviter cette puanteur. Quelque chose comme... l'odeur d'un loup-garou dans les parages. Et ce n'était pas les visions qui allaient l'accabler si un clébard était ici ! Pourtant, elle connaissait cette odeur. Elle avait déjà rencontré le propriétaire, elle en aurait mis sa vie en péril, si je puis me permettre.

Alice comprit alors tout... Jacob Black se tenait à quelques mètres d'elle et il l'avait certainement flairée elle-aussi. Elle n'allait pas se sauver, ça n'aurait pas été très fair-play mais elle ne voulait pas non plus lui montrer une nouvelle amitié. Miss Cullen ferait comme si elle rencontrait une connaissance. Rien de plus. Pas une personne avec qui elle aurait éliminé une horde de nouveaux-nés vampires assoifés de sang. Non. Une simple connaissance. S'avançant de sa démarche très légère, elle se prostra devant le loup-garou sans aucune gêne... apparente. Puis dit de sa même voix cristalline dont elle usait et abusait.

"Dites-moi si je me méprends... Ne serait-ce point ici Jacob Black ?"

Sur ce, elle éclata d'un rire franc comme si elle voulait mettre à l'aise son futur interlocuteur alors que ce n'en était absolument pas le cas. Aucune marque de colère, de rejet ou d'amitié ne serait tolérée pendant cette entrevue. Alice se l'était promis.

"Dites-moi si je me méprends... Ne serait-ce point ici Jacob Black ?"

Jacob réussit enfin à percevoir sortir de l'ombre, comme un mauvais présage, comme un nuage planait au dessus d'une heureuse maison, cette fille, si menue, sautillant plus qu'elle ne marchait. Certes elle était d'une beauté éblouissante, mais le loup ne pouvait se résigner à la trouver belle pour autant. Elle le dégoutait plus qu'autre chose. Elle et ses phrases stupides.
Jake leva les yeux au ciel arquant un sourcil. Il mina le fait de rire, avant de se retourner, regardant si la pluie avait cessé, évidemment non. Le jeune loup, son blouson de cuir scintillant et gouttelant tant il était trempé, expira avec lassitude, sachant que la confrontation était obligatoire. L'avait-elle retrouvé, de façon à lui reprocher ce qui était arrivé à Rosalie Cullen.
Cette Alice, toujours de bonne humeur, la fraicheur et la gaieté incarnée. Si bien que cela vous donnait des nausées. Elle était toujours sympatique, sauf envers les loup-garou apparamment. Ses lèvres retroussées dans un rictus effrayant, vampirique. Jake la haissait autant que les autres Cullen, ces vampires qui se disaient bons mais qui n'allaient pas tarder à voler la vie à une jeune fille. Jake voyait bien qu'Alice plus que les autres ce réjouissait de cela.

"T'as qu'à utiliser tes dons l'extralucide, tu le sauras comme ça."

Répondit Jacob, sur la défensive. Deux altercations avec deux Cullen en quelques jours, cela faisait beaucoup. Sam ne serait pas content si il apprenait que le jeune Black s'amusait à provoquer tout ces vampires. Mais bien qu'on pouvait dire le contraire, pour Jake, la trève était rompue, et si elle ne l'était pas cela n'était qu'une question de temps. La meute et les vampires ne pouvaient cohabiter à Forks, bien qu'un était là à cause de l'autre. Même si Carlisle et Sam avaient beaucoup donner pour cette trève, pour que le fait d'habiter dans la même ville ne pose pas vraiment de problème, Jake n'y croyait pas. Jake n'y croyait plus. Jake n'y croyait plus à cause d'Isabella Swan.

"Si c'est pour me reprocher quoi que se soit sur ton idiote de soeur tu ferais mieux de partir ou de me remercier de l'avoir garder en vie. Si je l'avais voulu j'aurais pu la tuer. Elle n'avait ni à dépasser les limites, ni à me provoquer d'une quelconque façon alors j'ai pas envie de leçon de moral de la part d'un.. d'une sangsue."

Jacob passa droit devant Alice, l'extralucide. Il voulait regagner sa voiture, faire une promenade n'étai pas une bonne idée, il aurait bien mieux fait de ne pas sortir, la pluie qui s'était déclenchée juste après qu'il fut monter dans la voiture aurait du l'avertir comme un signe. Ces drnier temps le protecteur n'avait pas vraiment la tête à taper la causette avec des parasites comme pouvaient l'être les Cullen.

Le sourire dAlice s'effaça tout de suite de son visage.
A se qu'elle voit lui,il ne voulait pas rester calme et faire comme si qu'il rencontrait une connaissance.Alice desteste quand il ose parler comme ça de sa famille.Sa l'a met sur les nerfs et elle c'est promis de rester calme mais la il deborde les limites et je ne supporterais pas qu'on insulte une personne de ma famille.

-Tu croit pouvoir partir comme ça.D'où tu ose insulté ma soeur d'idiote.(la rage dans les yeux)Elle fait se qu'elle de sa vie et si elle veut depasser les limites je n'y suis pour rien mais un conseiller si tu ose t'approcher d'elle ou encore de la tuer,tu aura du monde sur ton dos.

Alice était en colere mais elle repris tout de suite ses esprits car elle sétait promis de ne pas s'enerver.Mais elle deteste quand ils nous nommes de sangsue.
Alice se demandait pourquoi il l'aggraissait alors qu'elle ne lui voulait pas de mal.
On a comme meme combattus ensemble et à se qu'elle voit il nous detestes comme meme.Alice peut voir qu'il souffre aussi et il est seul.Sa doit etre difficil pour lui.Mais elle aimerait comme meme qu'il evite d'insulter les siens.Alice veut bien être sympas mais il y a des limetes.

-Pourquoi tu m'agresse tout suite?Je peus savoir pourquoi tu es tout seul?Tu attend peut etre quelqu'un?

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